L’art en action
Odes à la beauté des paysages québécois, les compositions de Flore Laurentienne sont imagées, évocatrices. Le mariage étrangement naturel entre l’orchestre à cordes et les synthétiseurs des années 1960 et 1970 traduit l’étendue, la beauté et la vivacité du territoire. Ancré dans la nouvelle vague des compositeurs, Mathieu David Gagnon est couvert d’éloges depuis la sortie de Volume I en 2020, récoltant des nominations à l’ADISQ, aux Juno, en plus de se tailler une place sur la liste des prix Polaris.

L’action par l’art
La musique de Volume II évoque la majesté du Saint-Laurent. À la manière d’un peintre qui représente un sujet sous des angles divers, Flore Laurentienne propose une suite de variations sur le thème de ce vaste fleuve qui nous traverse de part en part. Cette œuvre d’une grande maîtrise artistique possède toutes les qualités pour nous inspirer.

« Flore Laurentienne présente une proposition si originale et sensible qu’elle est incontournable dans le paysage québécois. »
— Louis-Philippe Labrèche, Le canal auditif

Musique instrumentale. Mathieu David Gagnon : claviers orgue et synthétiseurs. Mélanie Bélair, Chantal Bergeron, Annie Gadbois, Ligia Paquin : cordes. Antoine Létourneau : percussions claviers et orgue. Robbie Kuster : vibraphone & percussions. Photo : Marc-Étienne Mongrain. 1 h, sans entracte.